Tabliers, étalagistes ont été sommés de déguerpir. Les voitures garées sur la chaussée sont embarquées pour la fourrière. Les proprios s’acquitteront de 250 000 francs glissants pour les récupérer.

Les espaces ‘’récupérés’’ sont sécurisés. Un policier monte la garde pour éviter toute récidive. Comme un Koncoé, il devra surveiller sa zone jusqu’à 18 heures. A tous les véhiculés, se garer sur la chaussée est une infraction, une amende très salée risque de vous tomber dessus. Seul hic, l’espace réduit restant est devenu un parking géant. Les véhicules sont placés çà et là. Certains se retrouvent coincés entre deux à trois voitures, incapables de se dégager.