Claude Cauris Kondiano tout content de ses parle-menteurs qui ont réussi à « contrôler » le gouvernement, demande à ce dernier de poursuivre les efforts de développement, contrôler la qualité et la quantité de bauxites exportés. Et le fait qu’une partie du pognon engrangé en Chine par le prési Grimpeur servira à construire un parlement, « réjouit l’assemblée ».
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Le prési de l’Assemblée insiste que le goubernement doit payer les arriérés aux universités privées, augmenter les investissements pour celles publiques. Renforcer les moyens de l’armée pour qu’elle puisse faire face à une éventuelle attaque terroriste. Et la police, de lutter contre le banditisme et le crime organisé.
Pour la loi de finances 2018, le Cauris supplie le gouvernement de déposer les docs à date conformément aux dispositions de la loi de finances. Priorité à la « santé, l’éducation et l’agriculture en augmentant ses allocations budgétaires ». L’assainissement préoccupe le Cauris. Dans la LFI 2018, il demande d’y accorder un budget suffisant par le « prélèvement sur la taxation du patrimoine bâti et la contribution foncière unique ».
Avec cette idée du Cauris, on pourrait rendre à Conakry son image d’antan, la perle de l’Afrique de l’Ouest. Espérons que les poches du contribuable y survivent.