Le combat s’annonce rude et serré entre Aboubacar Soumah et ses supérieurs hiérarchiques. Le 9 janvier, le SLECG et l’USTG ont signé un acte excluant le ‘’rebelle’’ du SLECG et trois autres de ses camarades : Diallo Abdoulaye Portos, Oumar Tounkara et Ibrahima Baniré Diallo. Cette décision intervient alors que Soumah et Cie exigent au gouvernement une augmentation de 40% du salaire des enseignants. La grève, suspendue après intervention des religieux, pourrait reprendre dès février. Et cet acte n’aide pas rapprocher les positions.
Ci-dessous, l’acte d’exclusion