Le 22 mars 2020, la Guinée « adoptait » une nouvelle constitution destinée à remplacer celle de 2010, affublée de tous les qualitatifs péjoratifs. Un an après, on attend toujours les changements qui avaient été promis par les porteurs du projet de changement de constitution, notamment la fin des mutilations génitales féminines, des mariages précoces, l’allaitement maternel, le partage de propriété, la parité homme-femme, un environnement sain, un meilleur partage de la prospérité… Vous pouvez continuer la liste des promesses, des changements socio-économiques que la nouvelle constitution était censée apporter afin d’établir un bilan. Un an c’est peu dans la vie d’un pays, mais c’est suffisant pour penser à » un petit bilan » des changements apportés par la nouvelle constitution relativement aux conditions de vie des citoyens.
MT