Les ennuis judiciaires de Sékou Koundouno sont loin de se terminer. Au contraire, le tribunal de première instance de Dixinn vient de rendre public un mandat d’arrêt international émis en mai dernier contre le responsable des Stratégies et de la planification du FNDC. On l’accuse « d’association de malfaiteurs, d’incendie volontaire, de trouble à l’Etat par le massacre, la dévastation ou le pillage, de participation à un mouvement insurrectionnel et menace par le biais d’un système informatique ». Sékou Koundouno, qui séjourne actuellement en France, est connu pour ses prises de positions tranchantes et ses diatribes contre les pontes du régime.