La Haute autorité de la communication aussi veut sévir. Dans la nuit du 21 février, son président, Boubacar Yacine Diallo, dans un communiqué, a dit constater « avec regret des dérapages dans les médias ». La HAC dénonce des manquements notamment sur les questions d’ordre éthique, communautaire et d’incitation à la violence, susceptibles de troubler l’ordre public et d’ébranler dangereusement la cohésion sociale. Elle promet de prendre de sanctions dès les prochains manquements.
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