Les militants et responsables de l’UFDG sont-ils en train de payer pour leur soutien à la manifestation du 6 janvier dernier ? L’on est tenté de se poser la question. Beaucoup d’entre eux seraient dans le viseur des autorités de la transition et feraient l’objet d’une traque sans repos de la part des farces de sécu-raté. Face à cette situation, le parti décide de hausser le ton. Il dénonce une persécution qui « vise à briser la résilience des militants et à écraser toute contestation »
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