Dans un communiqué conjoint, les responsables des Groupes de médias victimes du retrait des fréquences de leurs médias respectifs le 23 mai entendent saisir la justice, à l’effet de « contester et d’obtenir l’annulation de cette mesure administrative ». Ils s’insurgent contre le prétendu « non-respect des cahiers de charges » argué par le ministre Fana Soumah pour leur retirer leurs agréments. Les confrères estiment que « ce n’est rien d’autre que la suite logique des persécutions » dont ils font « l’objet depuis novembre 2023 ». Ils en ragent contre ces « comportements liberticides » des autorités de la Transition et alertent les défenseurs des droits humains. Lisez plutôt !