Mais La Petite Cellule ne démord pas. Aux aigris qui veulent saboter ses meetings et marches, le chef de file n’oblige personne, « ceux qui ne veulent pas participer aux marches, qu’ils ne participent pas. C’est leur droit. Mais on verra le 2 août ».
Il a demandé à ses militants de ne pas avoir de complexe, qu’ils ne sont pas isolés, les Guinéens comptent sur eux. Pour le chef de file de l’opposition, le poids d’un parti se mesure à sa capacité de mobilisation, son électorat et son programme de société. Du coup, ça vaut la peine de marcher. Le 16, c’est un meeting à Kaloum, le 22 à Matoto et le 23 à Ratoma. Et le 2 août, c’est la marche.