Le 10 mars, veille de la seconde édition de la journée de l’OMVS, Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal célébré cette fois en Guinée, l’organisation a organisé un marathon de Dixinn terrasse au jardin 2 octobre. Hamed Diane SEMEGA, Haut-commissaire de l’OMVS a remercié les initiateurs du l’organisation qui ont porté haut le flambeau de l’intégration. « Notre slogan : un fleuve, quatre pays, un destin commun. Cela veut tout dire. L’intégration peut paraitre illusoire vue la complexité du contexte, mais elle est en marche depuis longtemps autour du bassin du fleuve Sénégal. C’est un idéal de paix, de justice. Mais surtout un idéal de solidarité qui a fondé la création de cette organisation. La suite, dois-je le rappeler, de terribles sécheresses des années 70. Nos Etats à l’époque se sont donnés la main pour lancer cette organisation ».

L’OMVS dit le haut-commissaire n’a pas seulement au programme que les barrages hydroélectriques. « Il y a aussi l’irrigation au Sénégal, au Mali et en Mauritanie. La volonté affichée par les autorités de ces pays est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire en exploitant les ressources du fleuve. Il y a aussi la navigation que va permettre au Mali qui est un pays sans ouverture à la mer, à partir de la réalisation du projet structurant de Saint Louis, un port fluviomaritime, d’avoir une façade maritime. C’est une belle preuve de solidarité et un projet phare de notre organisation. Il y a également l’agriculture, la navigation ».

Il a promis que l’impact du projet sera minimisé au maximum pour démentir ceux qui s’opposent à la réalisation du barrage, alors que l’hydroélectricité est plus pérenne, moins chère et moins polluante. « C’est le veut de nos chefs d’Etats, la volonté de notre organisation. Nos pères ont construit un outil d’intégration, il nous appartient de préserver cet outil et de le transmettre aux générations futures ». C’est pourquoi, dit M. Seméga ces journées ont tout leur sens, pour que chacun se rende compte qu’il y a une organisation en Afrique qui fait mentir tous ceux qui pensent que l’intégration n’est pas possible.

Bassin du fleuve Sénégal : L’OMVS célèbre l’intégration

Le 10 mars, veille de la seconde édition de la journée de l’OMVS, Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal célébré cette fois en Guinée, l’organisation a organisé un marathon de Dixinn terrasse au jardin 2 octobre. Hamed Diane SEMEGA, Haut-commissaire de l’OMVS a remercié les initiateurs du l’organisation qui ont porté haut le flambeau de l’intégration. « Notre slogan : un fleuve, quatre pays, un destin commun. Cela veut tout dire. L’intégration peut paraitre illusoire vue la complexité du contexte, mais elle est en marche depuis longtemps autour du bassin du fleuve Sénégal. C’est un idéal de paix, de justice. Mais surtout un idéal de solidarité qui a fondé la création de cette organisation. La suite, dois-je le rappeler, de terribles sécheresses des années 70. Nos Etats à l’époque se sont donnés la main pour lancer cette organisation ».

L’OMVS dit le haut-commissaire n’a pas seulement au programme que les barrages hydroélectriques. « Il y a aussi l’irrigation au Sénégal, au Mali et en Mauritanie. La volonté affichée par les autorités de ces pays est d’atteindre l’autosuffisance alimentaire en exploitant les ressources du fleuve. Il y a aussi la navigation que va permettre au Mali qui est un pays sans ouverture à la mer, à partir de la réalisation du projet structurant de Saint Louis, un port fluviomaritime, d’avoir une façade maritime. C’est une belle preuve de solidarité et un projet phare de notre organisation. Il y a également l’agriculture, la navigation ».

Il a promis que l’impact du projet sera minimisé au maximum pour démentir ceux qui s’opposent à la réalisation du barrage, alors que l’hydroélectricité est plus pérenne, moins chère et moins polluante. « C’est le veut de nos chefs d’Etats, la volonté de notre organisation. Nos pères ont construit un outil d’intégration, il nous appartient de préserver cet outil et de le transmettre aux générations futures ». C’est pourquoi, dit M. Seméga ces journées ont tout leur sens, pour que chacun se rende compte qu’il y a une organisation en Afrique qui fait mentir tous ceux qui pensent que l’intégration n’est pas possible.