Makaréna Caquet fait remarquer que le problème à la CENI n’est pas dû au non-respect de la date des élections, à la qualité des élections, ou encore à la crédibilité des actes que posent les commissaires. « C’est la répartition du budget alloué à la CENI. L’opposition républicaine ne demande que l’application de l’accord ».

Les élections locales étaient prévues en février passé, et l’adoption de la loi sur la CENI à la session des lois en avril. Malgré la pression des députés de l’opposition, l’Assemblée n’a pas examiné la loi. L’opposition voudrait que cette loi sur la CENI soit vite examinée et adoptée pour permettre la recomposition de cette commission avec des cadres compétents et intègres (sic). « On ne prend part ni pour Bakary ni Me Kébé. Ce qui nous intéresse c’est l’application de l’accord », dit Makaréna Caquet qui a servi de mégaphone.