Après la proclamation de sa victoire à l’issue de la sélection pestilentielle du 18 octobre et les violences qui ont suivi, Alpha Grimpeur s’est lancé dans une sorte de ratissage dans les rangs de ses adversaires. En plus des bilans très lourds en termes de morts et de blessés, c’est plus de 300 militants ou responsables de l’opposition qui croupissent actuellement en prison. Parmi eux, des responsables de l’UFDG dont Ousmane Gaoual Diallo et Ibrahima Chérif Bah, accusés de fabrication et détention d’armes de guerre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation. Mais des voix s’élèvent, pour réclamer leur libération. A l’issue d’une rencontre qu’ils ont eue avec des activistes guinéens et des membres de familles de certains détenus, des dépités français réunis au sein du Groupe d’amitié France-Guinée de l’Assemblée nationale se posent des questions sur les chefs d’inculpation. Ils appellent l’Etat français à œuvrer pour la libération des détenus politiques en Guinée.  Lisez plutôt !

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