Au moment où les libertés fondamentales et les droits de l’Homme sont malmenés, la Coalition guinéenne pour la Cour pénale internationale lance le Réseau guinéen pour un espace civique ouvert (REGECO). L’annonce a été faite le 22 juin, à la Maison de la presse. Le REGECO réunit, entre autres, l’Association des magistrats de Guinée, le Barreau, les Mêmes droits pour tous, Avocats sans frontières, le SPPG, la LIGUIDO, ABLOGUI, les centrales syndicales CNTG et USTG. Le réseau se fixe pour objectifs de contribuer à l’amélioration des instruments juridiques relatifs à la liberté de réunion, d’association et d’expression ; promouvoir le respect des libertés de réunion, d’association et d’expression ; œuvrer à la formation et à l’amélioration des conditions de vie et de travail de tous les acteurs impliqués dans le cadre de la liberté de réunion, d’association et d’expression. Le REGECO a été mis en place sur initiative de la Coalition guinéenne pour la Cour pénale internationale avec l’appui financier de l’ONG Freedom House. Lisez plutôt !