La JICA, Agence japonaise de coopération internationale a ouvert une antenne en Guinée. La cérémonie de présentation s’est déroulée à la résidence de l’ambassadeur de l’empire du soleil levant. Même si c’est maintenant que l’antenne ouvre ses portes en Guinée, la coopération avec le Japon, elle, a commencé depuis 1976. Depuis, les secteurs dont la pêche par l’aménagement du port de pêche de Boulbinet, l’agriculture par l’aménagement de la plaine de Sonfonia, l’éducation par la construction des salles de classe, la santé par l’appui à la construction de l’Institut national de santé publique, l’eau potable par la réalisation de bornes fontaines et des forages, et les infrastructures, notamment le pont Kaaka ont bénéficié des largesses du Japon. « Jusqu’en 2016, le gouvernement japonais a soutenu la Guinée à hauteur de 54 milliards, 538 millions de Yens, et une aide technique de 8 milliards 220 millions. Et environ 750 Guinéens ont participé à des stages de formation », a rappelé Kato Ryuichi, dirlo gênant de département Afrique de la JICA. Même que les programmes que développe la JICA sont conformes au PNDES, (Programme national de développement économique et social) et couvre les secteurs de la sécurité alimentaire, le développement économique et le développement du capital humain.
Himito Yamazaki, responsable de JICA en Guinée, a promis de dynamiser les activités sur place, et souhaite un bon début de collaboration.
Mama Kanny Diallo, ministre de la Coopération internationale a réitéré la disponibilité du gouvernement à faciliter l’accomplissement des missions de JICA en Guinée. Et pour tout ce qui a été fait jusque-là, elle a dit : Albarka !