Après l’UFDG et l’UFR, le RPG arc-en-ciel voit à son tour son siège assiégé par les services de sécurité. Empêchant ainsi tout accès. Une « atteinte aux libertés publiques », dénonce l’ancien parti au pouvoir qui, pourtant, s’était abstenu de se joindre aux manifestations de rue déclenchées par le FNDC et les autres ténors politiques, pour exiger de la junte militaire au pouvoir un retour rapide à l’ordre constitutionnel.
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