Selon les données de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) les réserves de pétrole de l’Algérie, à partir de 2021, s’élèvent à 12,2 milliards de barils. Ce chiffre la place à la 16e place du classement mondial des 20 plus grandes réserves de pétrole.
Entre le 20e et le 17e rang, on retrouve, derrière l’Algérie, l’Azerbaïdjan, l’Angola, la Norvège et l’Équateur. Entre la 15e et la 5e position, figurent (en ordre décroissant) : le Brésil, le Qatar, la Chine, le Kazakhstan, le Nigéria, les États-Unis, la Libye, les Émirats arabes unis, le Koweït et la Russie.
Selon le site Algérie 360°, l’économie de l’Algérie, pays de l’OPEP dont le PIB devrait s’établir en 2022 autour de 190 milliards de dollars US, s’appuie en grande partie sur les recettes de ses exportations d’hydrocarbures. En outre, la vente de pétrole et de gaz représente plus de 90 % du total des exportations algériennes. La loi du pays exige que toute société étrangère qui cherche à travailler dans l’industrie pétrolière en Algérie doive le faire en partenariat avec la société nationale, Sonatrach. En novembre 2022, l’Algérie a fourni 1,02 million de barils de pétrole par jour.
Enfin, le 24 août 2022 dernier, Sonatrach a annoncé la découverte d’un nouveau gisement de pétrole au forage de Hassi Illatou, dans la wilaya d’Adrar. On estime que le volume de celui-ci pourrait aller de 48 jusqu’à 150 millions de barils. Ce résultat positif indique que le Sahara algérien n’a pas encore livré tous ses «trésors».
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